Hilarant que l’auteur, sous prétexte de défendre les droits individuels et collectifs, en viennent à soutenir la burqà, qui incarne l’aliénation suprême pour quiconque demeure attaché à ces dis droits.
En parlant de liberté publique, pourquoi l’auteur ne parle-t-il donc pas de la restriction sans précédent à la liberté d’expression en Occident et singulièrement en France sous les virulentes pressions d’un lobby communautaire parfaitement bien identifié ? Cela crève pourtant les yeux, ne voit-il donc pas l’éléphant plante au milieu de la pièce ? Ou à-t-il trop peur du Lobby pour risquer de le critiquer ?
D’autre part, chose louche, il n’a pas fait référence à l’antisémitisme dans sa diatribe lorsqu’il lui a semble nécessaire d’énumérer les tares qui frapperaient la société française... ? C’est de tout évidence un crime de lèse-majesté intolérable. Qui résulte sans doute du fait que notre indigne sur commande, par moins communautariste et tribaliste que les précédents qu’il n’ose fustiger de son courroux, n’a néanmoins pas envi de leur faire la part belle après les joyeusetés de « bordure protectrice » !
Ce qui témoigne de deux choses :
1/ il n’a pas les couilles de s’attaquer à ceux qui fomentent la véritable haine et sont les principaux pourvoyeurs sur la scène nationale et internationale du mensonge, de la manipulation sur la base d’un supremacisme ethno-racial.
2/ Il les hait malgré tout mais n’ose pas l’avouer et déjà pour la raison que cela mettrait en évidence sa propre lâcheté intellectuelle.