On connaît la vieille devise de Paris Match : « Le poids des mots, le choc des photos ».
Je me disais en ouvrant l’article : on devrait bien y voir quelque part une tête de petit enfant, comme sur beaucoup de calendriers des postes. Des larmes y remplaceront l’attendrissant sourire, mais ce sera bien toujours, malgré l’inversion émotionnelle, la même convention.
Il suffisait de dérouler un peu la page : elle est bien là, la photo attendue, aussi banale et stéréotypée que celles proposées par le facteur à la période des étrennes.
Notre « intellectuel » façon Paris Match est si peu surprenant dans ses productions que j’ai renoncé à lire l’article : d’un disque trop souvent écouté on entend la musique avant même d’avoir pressé le bouton qui le fera tourner.
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