Bonjour Robert Bibeau,
vous confondez comme beaucoup libéralisme (La loi de l’offre et la demande)
et mercantilisme (Le fait que de grands seigneurs se battent afin d’accumuler les richesses du monde).
Le libéralisme fut repris au siècle des Lumières pour combattre le mercantilisme. Mais nos grands seigneurs ont su retourne l’arme contre leurs adversaires. Aujourd’hui combattre le libéralisme c’est combattre le peuple. Car c’est le peuple qui veut plus de liberté, moins d’Etat qui les contrôle, moins d’impôt, source de racket des puissances, et plus de démocratie (Organisation individualisme, ou, nous, individus qui décidons a la place d’une petite élite au nom de l’Etat). Sans oublier que la majorité des gens sont attache a la propriété privée, et même au capitalisme, vous n’avez jamais voulu avoir votre petite entreprise familiale a la place d’être fonctionnaire ou salarie ? Qui nous détruise ces projets, qui nous en empêche ?
Aujourd’hui nos grands seigneurs ne se disent pas libéraux, mais philanthrope, socialiste, humaniste ou anti-raciste, homme du monde, voir même communiste selon les pays. C’est bien beau de signaler que le monde est soumis aux multinationales, mais qu’a-t-il derrière les FMN (L’offre et la demande ?) Non, l’Etat omniprésent des lors que la multinationale se trouve dans un secteur stratégique, des fondations sinon pour les autres, que des organisations officiellement, selon la nov-langue, porteuses de grandes promesses. La loi du marche, ils n’en veulent pas comment pourraient-ils avoir du pouvoir si ce n’est eux mais le marche qui décide. C’est peut-être ça le summum de la novlangue, le fait d’avoir pu faire croire que le marche se sont eux.