Il n’y a pas de pilote dans l’avion, du grand n’importe quoi, l’article a le mérite de dénoncer cela,
la douce folie qui semble paralyser la classe politique lui faire souffler le chaud et le froid sur l’échiquier international.
Comment ne pas dénoncer ce spectacle effarant de marionnettes chevauchant la mythique croissance universelle sans limite, rependant du dollar et bientôt de l’Euro à tout va pour mieux vendre à travers le monde les armes, les larmes et la terreur....
L’Europe semble avoir choisi le camp US de l’économie de la guerre, foutre la merde un peu partout pour fourguer du matos hytec tout neuf, des missiles guidés GPS et plein d’autres trucs qui coûtent un fric fou...
La vivacité de cette industrie c’est peu de travail et beaucoup de morts, et surtout quelques actionnaires qui se rémunèrent plutôt bien. Le drame des enfants de Bengazi ou de GAZA c’est la corruption passive du système, l’élitisme républicain qui maintient au pouvoir dans une auréole de démocratie apparente des nuisibles à l’humanité au service de la seule expansion industrielle qui leur reste la fabrication d’armes.
Etre président ou ministre des affaires étrangères en France, et affirmer d’énormes bouffonneries contradictoires avec l’assentiment de la classe journalistique c’est un peu l’Allemagne de 36.
La pensée unique, vilains arabes, gentils juifs ; méchant poutine, vilain Bachar un monde duel ou il faut être blanc ou noir sans demi teinte... si non : pluie de bombe ! et tant pis pour la vie de l’enfant qui joue la guerre technologique est sans pitié...
La diplomatie de l’absurde que mènent unilatéralement nos « socio libéraux de socialistes repentis » est criminellement meurtrière, combien de morts doit on attribuer aux conséquences de leurs allégations mensongères à la face du monde. Ils en sont venu à trouver que bombarder une enclave surpeuplée ne demande pas de réaction immédiate de leur chancellerie ; que mettre à la porte de chez eux un million et demi de réfugiés russophones n’est encore pas assez...
Que rayer la Syrie de la carte « is not a problem »
Ces marchands de mort qui se revendiquent imprégnés de la pensée de Jaurès sont sans nul doute en plein crépuscule des idoles, tous occupés sans vraiment s’en rendre compte à la construction de la plus violente et meurtrière autocratie de l’histoire humaine...
Les peuples d’Europe ne veulent pas de cet impérialisme aligné sur le va t’en guerre congrès Américain, ils veulent une Europe libre, ouverte et attachée aux valeurs d’humanisme qu’elle a su combiner au fil de son histoire. Une Europe des peuples qui ne reposerait pas sur une montagne de papier monnaie mais sur des valeurs humaines. Bref tout le contraire de ce qu’on nous impose.
NO passaran !