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eric 10 septembre 2014 11:08

Certes, mais c’est à peu prêt sans intérêt, sauf peut être pour lui à titre personnel.

A 13% cela veut dire qu’il n’y a pas une « force vive », même pas pour le soutenir, mais pour jouer le jeux d’une de ses tentatives maladroite de détricotage-retricotage.

Cela veut dire qu’il ne peut rien faire et nous avec.

D’autant que la campagne présidentielle, qui interdit à peu prêt tout travail raisonnable, c’est dans quoi ? 18 mois ?

Il se mettrait même à faire une politique absolument géniale, on aurait pas le temps d’en voir les résultat. Or, aujourd’hui, il esquisse juste la tentative de faire semblant de revenir sur ses décisions absurdes passées.

C’est pourquoi à mon sens il y a deux approches possibles :

- Se réjouir que la solidité de nos institutions permettent aux gauches de boire le calice jusqu’à la lie. Les réformes qui s’en suivront prendront l’allure d’un tsunami, en l’absence de résistance possible de gens durablement déconsidérés.

- Le regretter : ce sont notre pays et en son sein les plus défavorisés qu payent le prix de cette énième échec du socialisme. Il n’est pas sur que les second aient vraiment le temps d’attendre.

Réponse dans moins d’un an avec les régionales.

Des institutions aussi solides soient elles, permettent de « résister » aux sondages. Plus difficilement si ils se traduisent en vote. Un Pouvoir réduit à mois de 13% des suffrages ne peut pas se maintenir.


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