Les communistes, partout dans le monde, ont pleuré lorsque Joseph Staline est mort en mars 1953. Quelle surprise lorsque, trois ans plus tard, le « bon » Nikita Khroutchev a cru devoir révéler les « crimes de Staline ».
Entre 1936 et 1938, les grandes purges avaient envoyé dans un monde meilleur à peu près deux millions de pauvres bougres. L’Humanité, journal du PCF, s’employait alors gaillardement à justifier les procès-bidon des « traîtres » les plus connus. Elle fermera les yeux pendant encore une bonne trentaine d’années sur le Goulag et les persécutions.
Quand on ne veut pas voir la réalité, c’est tout simple, on l’accommode à la sauce qu’on préfère. La dernière phrase de l’histoire de l’Union soviétique du brave Ellenstein, est à peu près la suivante : « les lumières l’emportent largement sur les ombres ». Je cite de mémoire.
Quel rapport avec cet article, dira-t-on ? Aucun : toute ressemblance avec la réalité actuelle ou un quelconque article lu sur ce site ne pourrait être évidemment que fortuite !
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