"Pas de livres, de télé, d’accès aux toilettes (bien sûr), attachée au
lit, gavée 8h par jour, pas de suivi psychologique et souvent restant la
seule patiente enfermée dans sa chambre d’isolement à l’étage tandis
que tout le monde (patients, soignants) descendaient en salle commune ou
au jardin l’après-midi. Plus de bruit, plus de « vie », seul le bruit
du tic-tac de ma sonde naso gastrique et des craquelures à fixer au
plafond."
ils ont du faire leurs études en 1800, il faudrait leur faire la même chose.
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