Bobo, Happy few, ça va, ca vient, ça passe. C’est fugitif. Impossible d’être bobo à vie. Donc surtout pas de Lubéron bobo : trop vieux, trop galvaudé (Jack L., etc) ou île de Ré (beurk) mais plutôt Bassin d’Arcachon comme Starck ou Canal St Martin comme Vacarme. Ajouter la visite des Galeries du Marais le samedi après-midi. Photos trash de Jürgen Teller, ou chic de Lamsweerde-Matadin. La lecture de Houellebeck, oui, mais uniquement au moment d’ « Extension du domaine », depuis non, galvaudé. Angot idem, out. Nothomb, rien à voir, hors sujet. Comme Renaud, has been. Tout ça jugé par trois Inrockuptibles fantômatiques. On n’est bobo que par le regard des autres. Eux mêmes vieillissant de concert.
Pourquoi ? c’est dit par l’auteur :
« Les bobos ont besoin de se sentir privilégiés, y compris dans leurs actes de consommation courante, (...) difficulté pour les quadragénaires et quinquagénaires bobos très fortunés de le rester vraiment ».
Bobo, c’est un job à temps complet. Faut donner. Bonne contribution de l’auteur :=))
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