En réponse à :
Plus le projet est gros, moins il y a de concurrence et plus il y a de marges.
Les institutionnels s’entendent très bien sauf contre ordre de la Direction et à condition que ce ne soit pas hypocrite. Un TGV tourne à 30% de marge mais c’est moins qu’Apple, du coup, ça « pousse au fesse » pour encourager les gros projets. ITER est l’exemple parfait de la cathédrale de l’orgueil avec ses rallonges budgétaires et ses carences de conception mais tout le monde pousse car ITER remplit le carnet de commande des majors du BTP et autres bureaux d’études du CEA. ITER est bourré de super-champs magnétiques et de bref éclairs électriques qu’on appelle des disruptions.
Comment prennent-ils en compte les réactions basse énergie récemment mises en évidence dans un rapport sur l’Hot-cat d’Andréa Rossi. Comment prennent-ils en compte l’hydrolyse basse énergie qui fait fonctionner ce groupe électrique à l’eau de la firme canadienne, GDS technologies. Tout cela se fait dans des conditions similaires à celles que connaîtront la structure d’ITER sans avoir été pris en compte car cela n’existe pas pour les concepteurs.
Ils feraient mieux de comprendre avant mais cela mettra ITER hors jeu économique ce qui serait la meilleure solution. Les gens qui travailleront sur le site seront les derniers kamikazes modernes sacrifiés sur l’autel de l’orgueil car on peut faire tellement mieux, moins cher, moins polluant et moins risqué.
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