Triste époque en réalité, où la Culture est encore aux mains des « épiciers » comme le rappelle Isga dans son commentaire. (Je n’ai évidement rien contre les épiciers lesquels d’ailleurs disparaissent ou ont disparu au nom de la grande distribution) .Mais ce dont il s’agit ici, c’est de standardiser la culture en la nivelant par le bas afin d’en tirer le plus grand profit... pécuniaire s’entend ! Malheureusement, cet etat de fait ne concerne pas uniquement la littérature, mais tous les domaines culturels.Je suis musicienne et peux vous dire que les musiciens , se confrontent tous les jours à ce triste constat : si nos créations ne rentrent dans aucun « tiroir rentable » ,alors adieu producteur, promotion... mais espoir il nous faut garder ! et comme dit la chanson d’un exilé de la dictature chilienne de Pinochet... « Change, tout change, et changera ! »( todo cambia de Julio Numhausen) Et en attendant des jours meilleurs pour la culture, un grand Merci à tous ceux qui pointent le lamentable constat d’une société qui traite ainsi ses créateurs et sa culture ! Merci donc à Robert Gac, dont je tiens à noter ici combien j’ai aimé ses « Pamphlets parisiens » Bonne continuation à lui et à ses écrits !
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