Dans la majeure partie de l’Europe, le combat est perdu d’avance. En tout cas, il faut laisser faire la sélection naturelle (ou le marché) : laisser le choîx entre la messe en latin (ou en grec, araméen..) et celle en langue vernaculaire et vérifier laquelle est plus attractive.
La raison majeure du recul de la pratique religieuse n’est pas directement le développement de la science : beaucoup d’athées, j’ai pu le constater, sont de complets incultes scientifiques, et la filière scientifique connaît un net recul ces dernières années.
La véritiable raison est la concurence d’une floraison d’activités (sports...) et de spectacles (dont la TV, voire Internet...) que permet le monde moderne, mettant fin au quasi-monopole des siècles passés, soigneusement entretrenu par ailleurs (mise au ban des acteurs...). Face à cette concurence, Faut-il se renouveler, garder ce qui marche, ou renoncer au concept même de la messe (se concentrer sur de grandes célébrations ou pélerinage) ou se lancer dans l’hystérie façon évangélique ? Le mieux est de lancer diverses expériences, en fonction des conditions locales, le risque étant la perte de l’unité.
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