ça me rappelle de vieilles querelles de la fin des années (19)50. Un article du Figaro de l’époque intitulé « la messe à l’envers » - le prêtre officiant depuis peu face aux fidèles - critiquait le passage aux langues nationales et déplorait l’abandon du latin en écrivant sans sourire « où sont nos Kyrie, où sont nos Alléluia » (sic). Franchouillard, vous ne trouverez ni l’un ni l’autre dans le Gaffiot, le premier est grec, le second hébreu.
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