prolog,
Le
but plus ou moins conscient est de sauvegarder son statut de
victime.
C’est le genre de phrase qui a tendance à
faire passer de victime à bourreau (au moins ma copine )
Vision certes expérimentale, d’un empirisme propre à la psychologie, entre comportementalisme et analyse. La victime séduit toujours le sauveur, cette espèce de fragilisation feinte ou réelle est contenue en chaque être humain. Le problème est de s’y cantonner par fragilité, manque d’attention, d’affection, insatiabilité.
La
prise de conscience chez l’un et l’autre est la seule solution
pour sortir de ce jeu infernal.
Pourquoi dites-vous qu’il
faut que les deux sortent du jeu ?
Parce que nous sommes dans une transaction ou chacun prend réellement vie sous le regard de l’autre. La dynamique est efficace dans les deux sens, débordement ou apaisement.
A priori on joue le jeu tout seul aussi non ?
Oui comme un poète rédige dans sa tête sans coucher son œuvre sur le papier, et bien sur en demeurant tout à fait inconnu.
si on attend que l’autre prenne conscience, on n’est pas encore une victime ou un sauveur ?
C’est vrai, dans le vécu tout est assez confus, mais comme le dit Henri Laborit,
« un cerveau ce n’est pas fait pour penser mais pour agir. »
Au plaisir et merci
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