Réitérons alors cette question (dans l’espoir de dépasser les ’solutions’ toutes faites mais seulement en théorie, pour co-inventer des réponses collectives et les mettre en marche ) :
- ne doit-on pas distinguer les expressions personnelles des expressions officielles ou officialisées (ie : validées par une légitimation officielle) ?
Il me semble que l’expression officielle ne relève pas de la liberté
d’expression : elle est censée traduire une évaluation de la »volonté
générale".
Cela pourrait s’avérer dépendre avant tout de techniques et
de consensus d’adoption de ces techniques ( * légitimations + *
évaluation de la volonté générale + * traduction de ces évaluations )
Nota Bene :
techniques actuelles de légitimation (d’inspiration aristocratique = prétendant viser Le Meilleur) :
- un scrutin (bien particulier)
- applications d’un principe de « collégialité »
principes dévoyés :
- l’arbitrage de la vox populi (évoqué par notre Constitution Française - article 5 )
- églité en dignité et en droit (dévoyé en une improbable « égalité des chances » ... ou on ne sait trop quel cncept de « mêmeté » )
- ( attention ? : liberté d’expression ... à ne pas dévoyer ! )
pistes théoriques connues :
- tirage au sort ( encore pour déléguer ? ...)
- référendum d’intiative populaire ( Qu’en est-il dans la pratique et dans les faits ? )
piste oubliée, qui a fait ses preuves par le passé, et qui pourrait être ré-inventée/réactivée :
- cahiers de doléances officiels ...
principe oublié :
« un homme, une voix »
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