"Soyons donc incorrect : Charlie c’est de la merde. Charlie c’est la médiocrité au pouvoir. Le plus bas étage du dessin d’humour. Et que se passe-t-il quand des merdeux attaquent gratuitement en cour de récré ? Les plus forts flanquent une raclée aux coupables. C’est ce qui s’est passé. La raclée est mémorable. Et les tueurs donnant l’exemple à d’autres, on n’est pas sortis de l’auberge.«
Charlie Hebdo devait concerner 30 000 lecteurs maximum. En terme de »pouvoir« , c’était vraiment limité sur une population de 66 millions. Votre discours n’a rien d’incorrect. Il est même le plus récurrent depuis la tuerie. Dans la veine »des fouteurs de merde qui l’on bien cherché"...
Et pour bien surenchérir, vous y voyait des krypto bites… qui multiplierait l’insulte…
j’ajouterais que vous n’avez visiblement pas évolué dans les mêmes cours de récré que moi. Les plus forts faisaient chier et martyrisaient les plus faibles qu’eux qu’ils aient été moqués ou pas.Juste parce qu’ils étaient plus con et plus violents que les autres. Mais leurs justifications étaient les mêmes que les vôtres. Leurs victimes étaient connes et faibles. Elles méritaient donc d’êtres tabassées.
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