Cet article est trop dithyrambique pour être totalement honnête.
>Ça y est, il a fini, François, et il retrouve Babeth, qui n’aime pas se montrer devant les caméras, qui ne veut pas de politique spectacle, celle qui mélange France et intimité de quelques personnes pas plus extraordinaires que les autres Français, leurs concitoyens.
Je perçois une contradiction, à faire de Bayrou un homme contre la politique spectacle, et en même temps, essayer de faire vibrer la corde « Bayrou, cet homme si proche de sa famille ».
Enfin, si clouer le clapet d’une journaliste suffisait pour atteindre la stature d’un chef d’état, c’est que nous n’avons pas la même idée de ce que cela signifie.
P.S. on s’en fout de Babeth.
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