Fergus dit :
« L’œuvre de Claude Debussy est émaillée de références à la Nature, à commencer par la très célèbre suite de trois esquisses symphoniques intitulée La mer dont la partition originale (1905) montrait une estampe de l’artiste japonais Hokusaï intitulée « Le creux de la vague ». Avec ses trois volets intitulés De l’aube à midi sur la mer, Le jeu des vagues, Le dialogue du vent et de la mer, Debussy annonce clairement ce qu’il a voulu mettre en musique. Le résultat est-il à la hauteur de l’ambition ? À chacun de se faire son opinion. » ****
La musique du vent et de la mer ont leurs propres sonorités, les plus parfaites qui soient ! transcender la perfection est impossible au compositeur le plus talentueux.
Forcément, les mélomanes ne s’y trompent pas et le résultat est là pour témoigner de l’absurdité d’une telle entreprise, beaucoup trop ambitieuse pour l’homme et ses capacités limitées à dépasser la beauté de l’existant. De ce qui est !