Pour ceux qui soupçonnent les Bienveillantes d’être une traduction : écoutez les rares interviews de Littell : il parle un français littéraire et sans accent. Bien sûr n’étant pas francophone de naissance il reste des traces. Mais on pourrait en dire autant pour Julien Green, Académicien quoique resté Américain jusqu’à la fin de ses jours. Le seul bémol (qui ne porte pas sur la qualité intrinsèque du livre) est la facilité avec laquelle Littell a trouvé un agent littéraire - celui de son père, auteur de thrillers bien connu - alors qu’il est fort à parier que ce gros manuscrit, présenté sans agent et par un illustre inconnu, n’aurait pas trouvé d’éditeur.
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