Il n’y a pas que les enfants qui meurent à cause du sabordage des hôpitaux publics, mon grand-père est mort la nuit à l’hôpital parce qu’il n’y avait qu’une seule infirmière de permanence pour bien trop de malades. La destruction des services publics est au delà du délit (c’est à nous, les politiciens n’ont pas le droit de les détruire), c’est un crime.
Ce qu’il faut faire, c’est recenser le nombre de victime de ce crime économique perpétré par le gouvernement et ses complices, puis poursuivre en justice les responsables de ce crime, devant des Cours d’Assises, pour que ces criminels soient enfin jugés par un jury populaire.
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