@andromerde95
« Le souci de l’avenir pousse le fascisme à forger un « homme nouveau ». Dès sa naissance, les Italiens sont encadrés par des organisations étatiques. Le régime, favorable à une augmentation de la population, crée l’ œuvre de la Mère et de l’Enfant pour les bébés et les nourrissons. De 4 à 18 ans, garçons et filles sont regroupés dans l’Opera nazionale Balilla qui organise leurs loisirs. »
les bébés et les enfants sont arrachés des mains des parents et de l’Eglise, progressisme.
« Les garçons y sont formés à la vie collective ou sportive et apprennent le maniement des armes (fictives). On essaie de leur insuffler un idéal de virilité et de sacrifice. »
les hommes sont simplement éduqués pour se sacrifier pour le duce et le part et se battre sur le champ de bataille, encore une fois ce n’est pas une éducation traditionnelle qui apprend à l’homme d’être un homme pas d’être un esclave de l’Etat.
vie collective=progressisme (par exemple, la vie en famille est dissoute dans la vie en collectif) et société collective marxiste tant rêvé.
« Les filles, par des activités sportives et civiques, sont formées à devenir des femmes aptes à enfanter et à accepter de sacrifier leurs enfants aux besoins de l’État. En 1939, plus de 5 millions de jeunes Italiens sont enrôlés dans cette organisation. À l’école, l’instituteur fait classe habillé de la chemise noire fasciste. Les professeurs d’université doivent prêter le serment de fidélité au régime fasciste. »
5 millions de jeunes arrachés des mains des parents et de l’Eglise.
la femme est vu comme un simple objet de production de bébés. dans une société traditionnelle, la femme est loin de se résumer à ça, la femme est bien plus que ça. le rôle d’éducatrice et responsable des enfants, le rôle de conjointe et d’épouse, de maîtresse du foyer... de la femme, les fachos s’en foutent, c’est la procréation qui les intéresse. en plus on apprend à la femme d’accepter de sacrifier son gosse pour l’Etat, rien de tradi... ce n’est pas ça l’attitude traditionnelle de la mère.
« Les loisirs des adultes sont encadrés par l’ Opera nazionale Dopolavoro qui gère des piscines, des installations sportives, des centres culturels, des colonies de vacances... »
fin du patriarcat, l’Etat contrôle les loisirs de la famille, pas le père.
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération