Le pire, la multinationale americaine n’as même pas besoin de se deplacer sur le site de production qui vas fermer. Elle prend les decisions à l’autre bout du monde, devant un ordi connecté sur la bourse, et le portable à l’oreille. Elle trouve sur place, des cadres, des consultants, des DRH Français qui adherent à leur fatalité économique et accomplissent le sale boulot en essayant de faire, en plus, des economies sur la fermeture de la production. Pour encadrer les salaries destabilisés, et abattus un service de repression, huissiers, appareils photos numeriques pour la pression, menaces de licenciements pour fautes au cas ou ils voudraient exprimer leurs mecontentements de se faire foutre dehors. Entreprises sacrifiées, salariés jetables ...
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