@Indépendance des Chercheurs et Usager - administré
Un autre aspect du problème : si les directions syndicales françaises s’alignent sur des compromis à l’échelle européenne ou mondiale sous prétexte de « Journée Internationale du Travail », elles risquent d’être amenées à passer des compromis avec des syndicats des pays destinataires des délocalisations. Ces derniers peuvent adopter une stratégie de « défense de la popote » à court terme et refuser que les délocalisations soient dénoncées.
Si tel est le cas, et on peut le craindre au vu des silences syndicaux du dernier 1er Mai, alors le grand capital mondialisé est à 100% gagnant.
D’autant plus que lorsque des capitalistes délocalisent, ils cherchent à s’assurer de la « fidelité » des gouvernements des pays destinataires des délocalisations. Les travailleurs de ces pays en font à terme les frais.
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