Tsipras n’a qu’un seul choix pour pouvoir vraiment agir : faire un référendum, qui seul lui conférerait la légitimité de quitter l’UE et l’euro, et de déclarer le pays en faillite, ce qui aurait comme effet immédiat d’effacer la dette, car on ne tond pas un œuf. Après, ils pourraient repartir avec de nouvelles règles, récupérer la création monétaire et le pouvoir politique et travailler avec de nouveaux partenaires. Je ne vois que ça ou l’humiliation continuera. C’est valable pour nous aussi. Ce qui est arrivé à la Grèce est en train de se passer ici aussi, et en Italie, en Espagne, au Portugal, en Autriche, en Irlande... Partout le chômage de masse est organisé, les industries se sont barrées et l’état providence n’est plus considéré comme un modèle « rentable » par les élites qui nous gouvernent (parait-il). Voilà ce qui arrive quand on confie le destin de son pays à des banquiers.
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