Comme on vous comprend ! Aujourd’hui, la gauche française, c’est Hollande, Dufflot, Royal, Melenchon ou Lienenmann ...
Cela manque de texte. Varoufakis y mettrait un peu de cul. On se souvient d’une sérié télévisée bien pensante de service public, l’Instit. Un spécialiste de « l’engineering sociétale gauchisant » butinait d’école en école en rependant le bien....
Lui aussi fascinait par sa grosse moto.
Le fantasme gauche de gauche de re-virilisation ne parviendra pourtant sans doute pas à renverser le rapport de force avec la « gauche tendresse féminine hollandaise ». C’est une question de taux de féminisation dans la fonction publique.
Ce n’est pas que l’agente publique de gauche ne soit pas elle aussi fascinée par Varoufakis, mais elle peinera à trahir le vrai mec de gauche qu’elle a vraiment dans son lit. (ces gens sont les plus endogames du pays, mais aussi les plus terrorisé par le rapport homme femme et ceux qui vivent le plus dans la crainte d’une domination inégalitaire au sein de leur couple. Cela explique autant leurs taux de divorce au niveau micro économique que les désunions au sein de la gauche plurielle au niveau macro.
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