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Laurent 47 18 juillet 2015 17:51

Il reste une alternative à la Grèce, et à Alexis Tsipras : recourir à la drachme comme monnaie locale et l’utiliser au maximum dans le commerce de proximité, ce qui permettra notamment à l’agriculture et au tourisme de pouvoir sortir de l’ornière.

Il suffit d’un vote au parlement grec pour en décider ( comme l’a fait l’Argentine à l’époque ).
L’euro restera la monnaie imposée à la Grèce pour les transactions internationales, sauf avec les pays des BRICS ( vous savez, ceux qui ne représentent que 42 % de la population mondiale ), qui sont en train de finaliser leur politique monétaire et commencent à accepter les monnaies locales dans leurs échanges commerciaux, ce qui ne pourra être interdit pour la drachme grecque.
Ainsi, les touristes chinois et russes, très friands de la Grèce, pourront utiliser indifféremment le yuan, la rouble, ou la drachme, sans que la Communauté Européenne ( comprenez les Etats-Unis ), n’y trouve à redire, puisque les spéculateurs de la finance internationale pourront continuer à faire joujou avec leurs euros chéris !
Cette idée ne peut que réjouir l’oncle Picsou de Londres, ou son homologue de Bruxelles !

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