Pour ma part, j’en veux beaucoup plus aux quelques hommes politiques honnêtes qu’à ce genre de prévaricateurs pour une raison toute simple : c’est que les rares honnêtes portent finalement à eux seuls et à bouts de bras toute cette pourriture et empêchent ainsi le système de s’écrouler sur lui-même.
On doit souhaiter non pas moins mais plus, toujours plus, de ripoux de ce genre car c’est ainsi que tout s’écroulera.
De toute façon, tout le monde comprend qu’on est à la fin d’un cycle et que les conditions de graves conflits sociaux, de quelque nom qu’on les appelle, sont d’ores et déjà données pour bien des raisons, tant économiques qu’idéologiques.
Quand les fils commandent aux pères, la fin est proche. Mais la fin est également proche quand on met en haut ce qui est bas, et en bas ce qui est haut, c’est-à-dire quand on inverse le critérium de la valeur.
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