N’importe quoi... Lorsque Coluche racontait ses sketches, j’étais très jeune et pas très éveillé, mais savait ce qu’était le second degré. A cette même époque, je savais différencier le second degré de Coluche au premier degré type Sevran, bref différencier l’ironie du pur mépris. La blague de Coluche ne ferait aucune Une... Groland fait 100 fois pire toutes les semaines dans ce registre, à une heure de grande écoute, et fait presque passer Coluche pour un ringard en matière de provoc. Mais c’est encore et toujours moins choquant que les analyses nauséabondes de Sevran ou Frèche.
Je suis par contre d’accord sur le fait que le second degré est à manipuler avec précaution, la frontière entre la dénonciation du racisme par les vannes au second degré, et le racisme pur, est aussi ténue que dangereuse.
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération