"j’aimerais bien lire un récit de Fantasy prenant place dans une cité
Maya mettant en scène pourquoi pas un de leurs dieux au nom
imprononçable."
Il me semble que le livre de David Gemmel, L’écho du grand chant, répond à cette description.
La littérature de SF était d’abord une littérature d’idées (du moins dans les meilleures œuvres ).
Ce n’était pas tant les combats spatiaux ou les empires galactiques qui faisaient son intérêt mais plutôt les évolutions possibles de la société.
La Fantasy a abandonné cette voie pour décrire des univers alternatifs du passé. Mais là encore, ce n’est pas tant l’accumulation de personnages bizarres tels que magiciens ou elfes qui est important, mais plutôt la leçon d’humanité sous-jacente révélée par ces aventures. Elle est toujours lumineuse chez Tolkien aussi bien que chez Vance ou Gemmel.
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