En réponse à :
« Tout cela est certainement une coïncidence malheureuse mais cela laissera des traces chez tous les croyants superstitieux de part le monde qui pensent que les gardiens des lieux saints ont parfois des alliances et des combats contre nature… »
Tout dépend du référentiel utilisé et la coïncidence est surtout malheureuse pour ses victimes, mais je ne vois pas pourquoi il faudrait réduire à de la simple superstition la sensibilité de l’individu aux signes et ce à quoi ils font écho pour lui.
Dans le même genre, la butte du Lion de Waterloo s’était fissurée un mois avant le début de la deuxième guerre en Irak.
Surtout pour des monuments ou des dates déjà symboliquement « chargés », la difficulté pour le croyant réside dans l’interprétation et l’intégration des signes, malgré l’inévitable accaparement idéologique dont ils feront immanquablement l’objet.
Et à tout bien considérer, par quel langage plus explicite signifier au croyant sincère les dévoiements auxquels mène l’obscurantisme financé par les pétrodollars wahhabites ?
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