Voilà une mise en perspective très pertinente, qui permet de rendre à la nature ce qui lui appartient, et à l’humanité la culture.
Cependant, je reste libéral.
L’argument du « réalisme » est pour moi correct. Si l’est vrai que l’on peut modifier notre environnement par la politique, il est difficile de tourner le dos au libéralisme, quand plus de la moitié de la planète l’a adopté. Doit-on fermer nos frontières, ou bien convaincre la Chine, l’Inde, l’Amérique du Nord ,l’Australie et la Russie de revenir à des sentiments plus altruistes ? Les deux me semblent fantaisistes. Emmenés par l’égoïsme, moteur central de l’humain (et qui va se cacher même dans l’altruisme, bien souvent), le libéralisme devra atteindre ses limites « naturelles », pour pouvoir enfin refluer.
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