En réponse à :
J’ai relis en zigzag cet article tachant de savoir ce qu’il voulait dire ???
Est ce une apologie de l’amnésie ? Une négation de l’histoire ?
Le passé est écrit, le futur non ! Ce qui fait qu’on peut l’envisager. Et évoquer la possibilité d’une guerre n’a rien d’une loufoquerie, au vu de ce qu’on a vu dans le passé. Car n’importe quelle époque peut se définir, « comme un entre deux guerres » ! ...Ce qui est absurde c’est de nier ce risque. La première guerre mondiale dans laquelle tant se sont précipités fleur au fusil, pensant que c’était l’affaire d’une semaine, est là pour l’attester et nous servir ! Après on l’appellera « la guerre mondiale » ! Pas la première guerre mondiale ! Il faudra un quart de siècle pour qu’on la rebaptise numéro 1 !
« Mais Suisse, Suède et Portugal, entre autres n’y étaient pas impliqués dans cette GUERRE MONDIALE de référence. Cette guerre n’était donc que « presque mondiale ».Et Suisse et Suède ne se portent pas si mal dans l’oubli de cet épisode »Faudrait élargir le plan d’ensemble, au lieu de regarder une baleine avec un microscope !
Passons sur les conclusions inédites dignes du café du commerce un jour de grande beuverie, sur la négation même de guerre mondiale ; l’auteur ne semblant pas s’apercevoir qu’une frontière ne garantit en rien les limites de la guerre et de ses conséquences...Première et seconde guerre seraient donc des conflits régionaux, ou même des parties de playstation ?....Passons sur l’histoire du congo belge « dont personne nous dit l’auteur, ne se souvient en dehors des amateurs de Tintin »...C’est plus du révisionniste, c’est du négationisme, ou peut être bien de la crétinerie !.
.Même si le Portugal puissance sans doute aussi importante que l’URSS a échappé à la seconde guerre mondiale, je suis persuadé que les têtes bien faites dans ce pays, connaissent Postdam et Yalta. L’histoire,c’est pas seulement ce qui se passe en bas de votre cage d’escalier. D’ailleurs, les portugais le savent trop bien, eux dont la perte de l’empire colonial est lié comme les autres aux conséquences de cette guerre !...
Semblablement, tout ce qui se joue en Syrie actuellement, est lié aux conséquences de la guerre de 14, au découpage des frontières de nouveaux pays, sur le cadavre de l’empire ottoman vaincu.
Si l’on peut se féliciter que l’Allemagne et la France se soient réconciliés, c’est du à un miracle d’éducation, autant qu’économique et politique. Par contre nous avons vu une illustration éloquente des plats réchauffés, avec l’histoire de la dette grecque, et les politiciens grecs tentant d’instrumentaliser l’histoire à leur profit, au sujet de cette dette de guerre.
Tout cela nous montrant que le présent se nourrit sans cesse du passé, et que ne pas le connaitre nous amène à le répéter, pour tenter de le comprendre, semblablement à une névrose.
Puisque l’histoire ne sert à rien, ne l’apprenons pas à nos enfants, semble nous dire l’auteur, qui travaille au bulldozer et à la dynamite !
Après on pourra s’attaquer à la philosophie et à la culture en général, en respectant les injonctions de Goebels : « Quand j’entend le mot culture je sort mon revolver ! »
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