Je passe sur les solipsistes sans m’arrêter.
Pour ce qui est de l’Homme démiurge s’arrogeant la position divine de créateur, ne peut on imaginer que dieu, tel un parent aimant, espère pour ses enfants les plaisirs de la Création ?
Sinon, est-ce l’adn qui définit ce qui est humain ? La forme ? L’âme ?
Pour
moi c’est le comportement. Si un androïde, même ressemblant au
terminator se comporte humainement, et que ses choix me plaisent, que
ses élans me transportent, je pense pouvoir l’aimer. C’est valable pour
un hypothétique ET. Simone de Beauvoir écrivait "on ne nait pas femme,
on le devient". Je pense que c’est valable pour l’humain, on naît au
niveau de l’animal, c’est par la suite qu’on s’élève pour atteindre le
statut d’humain, au fur et à mesure du développement des capacités de
compréhension, d’empathie, de socialisation.
Pour l’âme, j’ai l’impression que trop souvent c’est considéré comme un acquis, n’est-il pas possible que ce soit quelque-chose que l’on développe ? Un peu comme bouddha, par la méditation, des pratiques de nature à nous rapprocher du divin qui nous entoure.
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération