nis : « la suisse a signé un accord avec l’UE. en gros, dès qu’il y a enquête judiciaire, le secret est levé »
Vous me faites rire, lorsque des flics demandent à un banquier suisse : « connaissez-vous Mr Untel ? », la réponse est : « Non ».
Car figurez-vous que les fichiers informatiques de la banque ne contiennent pas le nom de Mr Untel.
Même chose au Luxembourg, c’est d’ailleurs la raison pour laquelle l’affaire Clearstream était bidon depuis le début : il est impossible de « voler » un fichier informatique contenant des noms de clients connus, puisque ces fichiers n’existent pas : les clients sont enregistrés sous de faux-noms et leurs noms authentiques ne figurent dans aucun fichier de la banque !
Par conséquent, il n’y a rien à « voler », ni rien à contrôler. A moins de connaitre le « faux-nom », ce qui n’avancerait à rien non plus, puisqu’il est impossible de remonter au véritable titulaire du compte, dont le nom n’existe toujours pas, donc on ne peut pas le relier au faux-nom.
Dans l’expression « secret bancaire », il y a le mot « secret », comprenez-vous ?
