Le mérite d’un tel article (en dehors bien du principal qui est celui de permettre d’appréhender des notions physiques complexes pour des profanes tels que moi, et je remercie pour cela l’auteur pour la grande qualité de l’exercice à l’instar du premier intervenant) pourrait résider aussi dans les réflexions connexes qu’il peut suggérer.
En clair si on se retrouve ici avec la possibilité physique d’imaginer les conséquences de l’interaction entre le temps et l’espace, que fait-on en toute circonstance de l’apparition ou de la disparition des « 21 grammes » dans le présent, le passé et le futur (et ce sans préjuger aucunement donc désormais de la possibilité ou non d’aller dans un sens comme dans l’autre)
Est ce que l’absence du corps, du substrat de ce qui a permit la pensée de l’être doué de conscience (ou pas d’ailleurs) qui se déplace dans le temps peut être intégré aussi facilement que ça dans les « calculs » auxquels se livrent les scientifiques, et en premier lieu quelle place laissent t’ils à cette variable malgré tout indispensable ?
Dit autrement est ce que l’on peut en toute circonstance parler de quoi que ce soit dans le monde physique en éliminant l’influence de ce qui est l’élément « pensant » inextricablement pendant de la chose.
En extrapolant on se doit de considérer que l’absence d’une quelconque partie élémentaire de la matière dans tout l’univers pourrait déstabiliser l’édifice entier en son absence.
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