Souhaitons que cette affaire se termine comme celle de l’affiche « casse-toi pauvre con ».
C’est à dire que si jamais ce prof devait être condamné, la cour européenne des droit de l’homme dirait également : " ....que la phrase en cause est « littéralement offensante à l’égard du premier ministre », mais qu’elle ne constitue pas pour autant « une attaque personnelle gratuite ». Il s’agirait plutôt d’une critique « de nature politique », à laquelle un chef de gouvernement s’expose « inévitablement et consciemment ».
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