Pendant que des légions d’abrutis rêvent de ressusciter un obscurantisme du VIIe siècle et d’ensanglanter le monde pour réaliser leur projet cauchemardesque, ailleurs, la connaissance progresse.
Nous sommes probablement les dernières générations d’hommes « naturels » entièrement déterminés par une structure biologique dont l’évolution est désespérément lente : entre un Grec du siècle de Périclès et nous, il n’y a pratiquement pas de différence, mais les choses vont désormais changer très vite, et la part du biologique sera de plus en plus réduite, jusqu’à ce qu’il n’y ait plus sur cette planète que des créatures artificielles qui n’auront plus beaucoup de rapport avec ce qu’on appelle encore l’homme. Ce sera l’affaire de quelques dizaines d’années, pas même d’un siècle. Je serais bien le dernier à me plaindre d’une pareille évolution : l’homme était vraiment une sale bête.
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