En réponse à :
J’aime bien cette dénomination de « quotiche », quant a son équivalent masculin de « quotichon », je lui préfère ; « quochon », c’est doublement évocateur, (quota de cochons), bien que ; je reconnais que le terme de quotichon est, lui triplement évocateur (quota de potache cochon), mais bon !.. je pense qu’il ne faut, peut être pas trop charger la barque !
Quant aux compétences requises pour exercer cette fonction, chacun sait qu’elles sont inutiles.
Et le regretté Georgius en avait concience !
<<Je suis le dernier, je passe pour un cuistre,
Mais j’m’en fout, je suis près du ra-dia-teur
Et puis comme plus tard, je veux dev’nir ministre,
Moins je s’rais calé, plus j’aurais d’va-leure !>>
(L’inspecteur) : Je vous dit, bravo !
Mais je vous donne zéro ! (Au Lycée Papillon)
De plus il est de notoriété publique, qu’un « portefeuille » (et là, le mot prend tous son sens) de ministre, n’est pas attribué en fonction des capacités de l’impétrant, mais bien en fonction de sa « cote d’amour » par rapport au 1er ministre chargé de constituer le gouvernement ! et les cotas sont fixés par les « groupes de pression » (finance, loges, et autres lobby « qui n’existe pas ») .
Le travail lui, est exécuté par le directeur de cabiné, à qui on demande, quand même !.. merde Quand même !.. un minimum de compétence !
Et cela depuis des lustres !
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