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bakerstreet bakerstreet 7 mars 2016 11:27
C’est bien de faire des ronds de jambes, mais pour être exhaustif, vous qui semblez au courant, qu’en est il de cette baraque que le cher homme avait construit dans un domaine sensément protégé ?...Lui a t’on donné gain de cause, et permis d’avoir une ennième demeure même dans le domaine protégé des alpilles ?...C’est le moins que l’état puisse faire pour un des ses serviteurs toujours affuble de ce sourire qui lui va comme un masque. Je me souviens de votre article sur Notre dame des Landes, où vous réclamiez que « la force revienne à la loi ». Hors voilà un autre cas singulier. Je met un article de 2013 du parisien, suite à ceux du canard enchaîné, qui s’était déchaîné sur l’affaire. Suit un extrait du dit article...Alpilles : nouveau rebondissement dans l’affaire de la villa ...« Michel Drucker n’en a peut-être pas fini avec son affaire de projet immobilier d’Eygalières dans le sud. Alors que l’animateur avait récupéré devant la cour administrative d’appel de Marseille son permis de construire pour sa villa, 293 m² avec piscine dans les Alpilles, Le Canard Enchaîné vient de révéler que le préfet de l’époque, Jacques Simonnet, celui-là même qui a validé le permis, s’embrouille avec les dates et les faits, donnant ainsi une version inédite au dossier.

Mais c’est pourtant sur ce témoignage clef que l’avocat de l’animateur, Jean-Pierre Mignard, s’est appuyé pour défendre le dossier. Sur cinq feuillets, le préfet de l’époque précise ainsi qu’il a étudié ce dossier avec une attention particulière dans les deux mois qui lui ont été impartis pour exercer le contrôle de légalité, d’autant plus « qu’une pression intolérable, à mon niveau, était exercée par la Ligue de défense des Alpilles », précise t-il. Sauf que de petites incohérences résident dans ses propos : « Quand on regarde les dates, on se rend compte que nous ne pouvions exercer des pressions, puisque nous ignorions que le permis était instruit, » lâche perplexe au Canard Enchaîné Annick Blanc, présidente de la Ligue. Effectivement le permis contesté était du 18 janvier 2008 or la Ligue n’en a appris l’existence qu’un an plus tard et la première lettre adressée au préfet est datée du 2 avril 2009. La Ligue a donc saisi le Conseil d’État d’un pourvoi. »


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