Certes Dilma Roussef a commis des imprudences en sollicitant ou en acceptant des subsides corrupteurs. Mais l’on assiste au Brésil à un scénario quasi identique à celui du Venezuela : les conservateurs, la droite et la réaction, puissamment aidés par leur grand protecteur traditionnel, utilisent de nouvelles méthodes.Plus besoin de colonels ou généraux putschistes, ni de « contras » armées. Des manœuvres habiles et quelques machinations suffisent à ameuter et manier des foules de « démocrates » indignés.
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