comme vous dites je fais comme bon me semble, mais après lecture (enfin si vous voulez) vous me direz ce que vous préférez sur les trois actes suivants. Je n’arrive pas à admettre que vous pensiez que les taureaux ne souffrent pas, lisez les livres de Claire Starozinsky, qui ont été faits avec enquêtes à tous les niveaux, y compris témoignages de personnes compétentes comme les vétos, etc.. mais c’est tellement pratique pour les aficionados de penser que ces animaux ne souffrent pas, ça vous donne bonne conscience, donc bonne lecture :
- la corrida se déroule en trois actes ou TIERCIOS. Dès son entrée dans l’arène, le taureau est attiré par des mouvements de cape Il charge l’étoffe, qui sert de leurre en protégeant l’homme. Ces passes de câpe permettent de juger l’animal, son caractère, sa vitesse, sa force et ses faiblesses ; elles ont aussi pour but de l’essouffler et de fatiguer sa musculature dorsale.
- TIERCIO 1 - LA PIQUE monté sur un cheval protégé par un caparaçon, le PICADOR enfonce la pique pour blesser le taureau souvent très profondément, malgré la barre d’arrêt de la pique. La blessure atteint parfois les nerfs rachidiens à leur sortie des vertèbres. (je suis persuadée que même cela, doit lui faire énormément de bien !!!!
- TIERCIO 2 - LES BANDERILLES Six banderilles sont plantées deux par deux Enfoncées de plusieurs centimètres, elles bougent à chaque mouvement du taureau. Excité par les passes des capes,le taureau blessé effectue des charges qui le fatiguent le font souffrir et saigner abondamment.
- TIERCIO 3 - LA MISE A MORT ET L’AGONIE SANGLANTE LE MATADOR (matar : tuer) attire le taureau avec la MULETA (tissu rouge fixé sur une tige de bois) Il lui fait baisser la tête pour pouvoir enfoncer une épée dans la cage thoracique, couper un gros vaisseau près du coeur et provoquer une hémorragie interne.Il dispose de 3 épées. Si les épées ne suffisent pas pour faire tomber le taureau le matador plante la pointe du DESCABELLO dans la nuque, parfois à coups répétés. Au sol le taureau est achevé avec la PUNTILLA. Le PUNTILLERO plonge son arme juste derrière le crâne pour atteindre le bulbe rachidien, souvent en multipliant les coups jusqu’à une trentaine le 18 octobre 1998 à Béziers. En fait la puntilla n’atteint souvent que la moëlle épinière : le taureau n’est que paralysé et n’est pas toujours mort lorsqu’on lui coupe les oreilles et la queuie, trophées parfois accordés au matador j’ai oublié : le cheval peut être atteint par les cornes du taureau aux endroits non protégés (tête cou, flanc gauche) les chevaux ont souvent une partie des yeux bandés, pour qu’ils ne voient pas le taureau qui les terrorise.
Comment peut-on prétendre qu’il n’y a pas de souffrances ! et dire que vous vous repaissez de ces spectacles macabres !!! honte à l’être humain qui a besoin d’affirmer sa supériorité par la torture, c’est l’apanage des faibles.
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