Ce qu’il faut, c’est un consensus, dialoguer avec les forces en présence, Syriza a le courage de s’attaquer à réformer les retraites et brave le mécontentement de son peuple et surtout des syndicats.
Le dialogue, la discussion avec ses créanciers est la seule manière d’obtenir des faveurs de la part des créanciers européens.
La Grèce n’est pas une nation à proprement parler, mais une entité faisant partie de l’Europe.
Les Grecs paient dorénavant leurs impôts, le cash et je travail au noir a disparu et la TVA est donc dorénavant perçue par l’État,
la retraite est prise après 42 ans de travail et sur la base des
cotisations versées, un cadastre a été établi, la corruption et le
clientélisme endémiques ont disparu...
La Grèce devrait être un bon enfant de l’Europe si nous voulons vaincre un ordre mondial de plus en plus puissant, les européens devront s’allier ensemble et concevoir un projet en commun.
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