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Milla (---.---.1.10) 1er juin 2016 22:35

Les merdias appliquent la vieille règle maçonnique du silence médiatique autour de ce document à valeur historique d’Alexandre Soljenitsyne, Deux siècles ensemble, tome I & II, Juifs et Russes pendant la période soviétique, Fayard Paris 2002. Une œuvre documentaire monumentale fondée sur les archives accessibles après la perestroïka. Aucune critique dans la presse quotidienne n’a transpiré, pas plus dans les grands Hebdos, encore moins sur les grandes radios.... et bien sûr RIEN dans les émissions TV (Vol de Fruit, Guillaume Ducond, Yves Calvitie, Serge Moiossi etc.).

On ne demande pas : Pourquoi ? Pourquoi ?? l’ensemble des merdia a-t-il occulté la sortie d’un ouvrage de 1200 pages (Tome I et II) d’un prix Nobel « un vrai de vrai », grande conscience actuelle vivante ?

Le crime de Soljenitsyne est d’aborder la place et le rôle des Juifs russes dans les institutions et le mouvement bolchévique. Sujet hérétique frappé d’interdit ! On y apprend (tome 2 couvrant la période allant de 1917 à 1972) que plus de 50% des organes essentiels au fonctionnement du Bolchevisme naissant étaient composés de Juifs (Comité Central-Commissaires Politiques - NKVD etc.) Or si l’on rapproche ces informations au fait avéré que les Bolcheviques ont assassiné 20 Millions de Russes, cela équivaut presque à 4 Shoah, ce qui d’ailleurs démontre à la fois la cruauté humaine et le fait que les Juifs n’ont pas le monopole de la victimisation ; que le devoir d’histoire vraie devrait aussi s’appliquer aux Russes. Que le livre de Soljénitsyne puisse être boycotté est une forme élaborée et hypocrite de négationnisme et ceux qui liront le livre ont le devoir de la faire connaitre au maximum afin qu’une page de l’histoire ne soit pas passé par pertes et surtout profits.

Déjà en 1921, un Journaliste Anglais du nom de WILTON (correspondant du Time à Moscou) a publié à Paris en 1921 sous le titre : Les derniers jours des Romanoff. « J’ai fait tout ce qui était en mon pouvoir pour agir en chroniqueur impartial », écrivit Wilton. L’ouvrage de Soljénitsyne « Deux siècles ensemble » est un monument d’érudition ; Fayard a eu grand mérite de le publier.

Autre crime impardonnable : Soljenitsyne tente de montrer que les pogroms sont fomentés par les révolutionnaires (p. 228) et non par des partisans du tsar.

http://www.the-savoisien.com/blog/public/img20/lenculus_mise_a_jour/romanov_family_4. jpg Le massacre de l’ex-tsar Nicolas II fait partie d’un plan secret pour détruire l’ensemble de la famille des Romanov

- Devoir d’histoire ; Il y a 91 ans, l’assassinat de Nicolas II et de la famille impériale russe par des juifs. « En conséquence » conclut Wilton, « il n’y a pas de raison d’être surpris du rôle prépondérant des Juifs dans l’assassinat de la famille impériale. C’est plutôt le contraire qui aurait été surprenant. »

Le rôle des juifs dans la révolution bolchevique et les débuts du régime soviétique Mark Weber Appendice

Un trait frappant dans l’analyse de Mr Wilton de la période tumultueuse 1917-1919 en Russie est son exposé du rôle éminemment important joué par les Juifs dans l’établissement du régime bolchevique.

La liste suivante est la liste des membres du Parti Bolchevique et de l’administration soviétique pendant cette période, que Wilson compila sur la base de rapports officiels et de documents originaux, et cette liste met en évidence le rôle crucial joué par les Juifs dans ces organismes. Ces listes furent d’abord publiées dans l’édition française — difficile à trouver — du livre de Wilton, publié à Paris en 1921 sous le titre : Les derniers jours des Romanoffs. Elles n’apparaissent pas dans les éditions américaine et britannique de The Last Days of the Romanovs, publiées en 1920.

« J’ai fait tout ce qui était en mon pouvoir pour agir en chroniqueur impartial », écrivit Wilton dans son avant-propos des Derniers jours des Romanoffs. « Dans le but d’éviter toute accusation de porter préjudice, je donne la liste des membres du Comité Central [du Parti Bolchevik], de la Commission Extraordinaire [la Tchéka, ou police secrète] et du Conseil des Commissaires, en activité à l’époque de l’assassinat de la famille impériale.

« Les 62 membres du Comité [Central] étaient composés de cinq Russes, un Ukrainien, six Lettes [Lettons], deux Allemands, un Tchèque, deux Arméniens, trois Géorgiens, un Karaim (une secte juive), et 41 Juifs.

La Commission Extraordinaire [Théka ou Vétchéka] de Moscou était composée de 36 membres, incluant un Allemand, un Polonais, un Arménien, deux Russes, huit Lettons, et 23 Juifs.

Le Conseil des Commissaires du Peuple [le gouvernement soviétique] comptait deux Arméniens, trois Russes, et 17 Juifs. « D’après les informations fournies par la presse soviétique, sur 556 importants fonctionnaires de l’Etat Bolchevique, incluant ceux mentionnés précédemment, en 1918-1919 il y avait : 17 Russes, 2 Ukrainiens, 11 Arméniens, 35 Lettes [Lettons], 15 Allemands, un Hongrois, 10 Géorgiens, 3 Polonais, 3 Finnois, un Tchèque, un Karaim, et 457 Juifs. » « Si le lecteur s’étonne de trouver la main des Juifs partout dans l’affaire de l’assassinat de la famille impériale russe, il doit garder à l ’esprit la formidable prépondérance numérique des Juifs dans l’administration soviétique », continue Wilton.

Le pouvoir gouvernemental réel, poursuit Wilton (p. 136-138 de la même édition) réside dans le Comité Central du Parti Bolchevique. En 1918, raconte-t-il, cet organisme comptait douze membres, dont neuf étaient d’origine juive, et trois étaient Russes. Les neuf Juifs étaient : Bronstein (Trotsky), Apfelbaum (Zinoviev), Lurie (Larine), Uritsky, Volodarski, Rosenfeld (Kamenev), Smidovitch, Sverdlov (Yankel) et Nakhamkes (Steklov). Les trois Russes étaient Ulyanov (Lénine), Krylenko et Lunacharsky.

« Les autres partis socialistes russes avaient une composition similaire », continue Wilton. « Leurs Comités Centraux étaient composés comme suit :

Mencheviks (Sociaux-Démocrates) : Onze membres, juifs en totalité. Communistes du Peuple : six membres, dont cinq étaient juifs et un, russe. Sociaux-Révolutionnaires (aile droite) : quinze membres, dont 13 étaient juifs et deux étaient russes (Kérenski, qui était peut-être d’origine juive, et Tchaïkovski). Sociaux-Révolutionnaires (aile gauche) : douze membres, dont dix étaient juifs et deux, russes. Comité des Anarchistes de Moscou : cinq membres, dont quatre étaient juifs et un, russe. Parti Communiste Polonais : douze membres, juifs en totalité, incluant Sobelson (Radek), Krokhenal (Zagonski), et Schwartz (Goltz).

« Ces partis », commente Wilson, « en apparence opposés aux Bolcheviques, jouaient le jeu des Bolcheviques d’une manière sournoise, plus ou moins, en empêchant les Russes de se rassembler. Sur 61 individus à la tête de ces partis, il y avait 6 Russes et 55 Juifs. Quel que soit le nom qu’on lui donne, le gouvernement révolutionnaire était juif. » [Bien que les Bolcheviks permirent à ces groupes politiques de gauche d’opérer pour un temps sous un strict contrôle et dans des limites étroites, même ces pitoyables résidus d’opposition organisée furent complètement éliminés à la fin de 1921.] Le gouvernement Soviétique, ou « Conseil des Commissaires du Peuple » (également connu sous le nom de « Sovnarkom ») était composé comme suit, dit Wilton :

Suite de l’article plus bas..


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