Les « penseurs » de la place de la République sont de très paisibles intellectuels, extrêmement ouverts au dialogue et bien évidemment incapables d’actions violentes de cette nature. Ce sont donc probablement aussi des policiers déguisés en manifestants qui auront craché à la gueule de Finkielkraut, et c’est par erreur que plusieurs têtes pensantes de cette petite révolution tranquille auront cru bon de devoir cautionner une action fort peu démocratique des forces de l’ordre, laquelle paraissait donc, pour l’heure - on est réduit à le supposer - aller dans le sens de leurs intérêts. Tout cela paraît un peu obscur, mais le manque de sommeil peut produire ces sortes d’aberrations.
Flics et nuit debout, même combat : du moins au début ! Ensuite, on a dû se fâcher avec la police : on ne s’aime plus du tout, semble-t-il, mais je ne comprends pas bien la cause du divorce.
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