Très clairement, les mots d’ordre qui circulaient dans cette manif étaient de « casser du flic ». Ironiquement, le petit garçon qui se retrouve orphelin après l’assassinat de ses parents policiers était hébergé ce jour-là à l’hôpital Necker. Il a donc subi une double peine et ne se sentira plus jamais en sécurité.
Cette haine anti-flic nous entraîne vers le chaos et la CGT y a une grande part de responsabilité, le gouvernement aussi, bien entendu.
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