Après la dissolution de 1997, Ségolène Royal a conservé trois collaboratrices lors des élections législatives. Suite à un litige sur les salaires, ces dernières saisissent le conseil de prudhommes de Niort et obtiennent en 1999 une condamnation de Ségolène Royal à un rappel de salaires de trois semaines (sur les trois mois demandés). En 2001, Ségolène Royal est déboutée de la plainte pour « diffamation » qu’elle avait déposée contre ses anciennes collaboratrices qui portent plainte au pénal pour « recours au travail clandestin », mais Ségolène Royal obtient un non-lieu en 2003[72].
Le quotidien Sud Ouest en date du 7 novembre 2006 rapporte qu’une plainte pour harcèlement moral aurait été déposée contre Ségolène Royal par Olivier Chupin, directeur du Fonds régional d’art contemporain de Poitou-Charentes.[73]. La plainte, déposée six mois après les faits qui sont reprochés à Ségolène Royal (la délocalisation du Frac) et après que cette dernière a démissionné de la présidence du Frac, semble politiquement opportuniste à l’intéressée, qui commente : « C’est une plainte sans aucun fondement qui intervient dans un contexte politique qui n’est pas neutre. Elle ne débouchera sur rien[74]. »
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