Se cacher ? Pourquoi faire ?

Les Clinton sont bakés par les jésuites depuis le début. Bill et Georgetown, une grande histoire d’amour. Hillary s’est vue adjoindre le jésuite Tim Kain comme colistier (sort de Rockhurst Highschool jésuite)

Sanders, le socialo en peau de crapaud a fait un tour au Vatican pendant sa campagne.

Quant à Donald, il sort de Fordham, et de la Pennsylvania University, autres nids de jésuites.

Son fils, Eric, est carrément au board de Georgetown.

Quoi qu’il arrive, les jésuites ont déjà gagné l’élection de 2016, comme d’habitude.

Il y a en qui se rendent compte que tout cela n’est que du cirque et que tous les chemins mènent à Rome, premier nom de Washington DC au bord du Tibre (un bras du Potomac) entre la Virginie et le Maryland (Virgin Mary) avant que le jésuite Caroll en donne le terrain, que Mr White, jésuite, lui donne une maison du même nom et que Pierre Charles l’Enfant n’en dessine le plan maçonnique (sous contrôle jèze) ?

Un mystérieux italien, raffiné, s’est trouvé un jour du début de 1776 entre Franklin et Washington pour choisir le premier drapeau des USA. Le drapeau de la Cie des Indes fut choisi pour ne point effrayer l’anglois en train de perdre ses colonies.

Il se dit qu’il s’agissait de Lorenzo Ricci, le Supérieur Général des Jésuites, décédé officiellement en novembre 1775, après la fausse dissolution de l’ordre, menée de main de maître, le plus beau coup de l’histoire de ces 500 dernières années.

Washington s’est converti officiellement au catholicisme auprès de son confesseur jésuite Leonard Neale sur son lit de mort.

En 1772, Lorenzo Ricci a veillé personnellement à la publication de l’art de la Guerre de Sun Tzu, édité par le jésuite Amiot, sur la base de documents introuvables, et qui nous parle d’un Général génialissime qui gagne ses batailles sans combattre.

Un malheureux hasard !

En 1775, il était plus que temps de mettre la main sur les USA naissant. La fausse dissolution a été fomentée, histoire de disparaitre officiellement, y compris pendant toute la période révolutionnaire en Europe. Le catholicisme était interdit dans les 13 colonies britanniques. « On » a donc concocté une déclaration d’indépendance qui sanctifiait la liberté de culte. Et voilà !

Peu après, la grande famine en Irlande, heureuse famine, a permis d’envoyer des millions de catholiques irlandais peupler les colonies.

Aujourd’hui, ce sont des millions de sud-américains, catholiques, qui entrent aux USA.

Bon, allez Trumpary, l’essentiel c’est de participer.