L’article finit en quenouille. Un peu trop « conversation de comptoir » à mon goût.
Comme il a déjà été dit : comment appliquer la peine de mort aux suicidés ?
L’idée d’une « peine mémorielle », en ne publiant ni noms ni photos, n’est peut-être pas réalisable. Elle a le mérite d’explorer un autre terrain que la mort physique, laquelle n’est manifestement pas le plus important pour ce genre de meurtrier. Plus largement d’ailleurs les malheureux qui se suicident pour de tout autres raisons (économiques, sentimentales, etc.) et dont il n’y a pas de raison de penser qu’ils sont a priori détraqués (génétiquement, si l’on veut), nous laissent penser que l’estime de soi, l’image de soi chez les autres, peuvent avoir plus de prix encore que la vie. Ces réflexions ne se prétendent pas originales. Ne pourrait-on pas tenir mieux compte de tout cela dans l’élaboration des stratégies ?
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