"En CONCLUSION : on ne combat pas l’intégrisme en adaptant les textes, en les interprétant ou en sortant des arrêtés de circonstance."
Un arrêté d’ordre public est toujours de circonstance. Il est pris en responsabilité par l’autorité locale en fonction de circonstances particulières. D’ailleurs, le premier ministre lui-même ne peut pas les justifier tous a priori et sans examen de chaque cas particulier. Les circonstances sont le danger et l’urgence. En Corse, il s’agissait - dans l’urgence - de protéger les personnes y compris les musulmans. Valls n’a rien à déclarer : si un arrêté est mal fondé, il peut être attaqué en justice par les citoyens intéressés. Ce n’est pas un choix politique national mais l’exercice d’une mission légale d’ordre public.
En revanche, la décision de la CAF est bien une décision de politique familiale. La CAF mène une politique bien définie qui implique le respects d’obligations. Elle peut changer sa politique, le citoyen ne pourra agir que par l’intermédiaire de son député ou par pression aux côtés d’associations familiales.
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