F1,semence de compétition ? : l’apparence, le calibrage, l’odeur, la saveur, la productivité, la rentabilité d’un OGM,
sans en être réellement,
peut être ... un soupçon quand même,
dès lors que le produit final reste commercialisable sous le label Bio, peu importe le flacon.
Les jardiniers amateurs ou assidus avisés continueront à fuir la F1 tt comme le tetranyque tisserand ou l’alternariose et à servir des fruits aux qualités sans comparaison à ceux proposés en échoppe bio.
Extrait gerbeaud .com
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Une homogénéité parfaite
Autre atout, peut-être moins »palpable« pour le jardinier amateur mais qui explique cependant que les hybrides F1 tendent à supplanter les variétés »classiques« en agriculture intensive et en production, à l’échelle industrielle, de légumes, parfois aussi de fruits : l’homogénéité des plantes obtenues. Au sein d’une population d’hybrides F1, tous les individus ont exactement le même patrimoine génétique, et donc le même phénotype, c’est-à-dire, pour simplifier, le même aspect et le même comportement. La population est donc très homogène : leur culture est sans surprise. Un bon exemple en est l’image d’un champ de blé ou de tournesol, où tous les plants ont la même hauteur : pas une tête ne dépasse ! Les légumes, les céréales arrivent à maturité en même temps, ce qui simplifie évidemment la récolte »