« C’est leur choix, leur libre arbitre »
En voilà une belle idée, mais l’auteur sait, je suppose, que ce n’est pas toujours si simple.
Le pression sociale de la communauté peut altérer, plus ou moins significativement, ce prétendu libre-arbitre.
De la même façon l’auteur nous parle du sens critique des femmes ; encore faut-il que ce sens critique ait pu se développer grâce à un accès plein et entier à l’éducation. Ce qui n’est pas forcément toujours le cas pour les filles, et dans une moindre mesure pour les garçons.
L’accusation de phallocratie est alors un peu facile et même lassante : quand on est contre l’émancipation de la femme on est phallocrate, et maintenant si on est pour on est phallocrate également.
Ceci dit je trouve que cette « affaire » de Burkini commence à aller trop loin et il y a des dérapages ; mais ce n’est pas sur la côte d’azur que l’on trouve les gens les plus ouverts d’esprit.
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération